The Kerbiquet Wheneverly News

Pour me faire pardonner le courrier précédent

“Par leurs meilleurs côtés sachons prendre les choses:

Vous vous plaignez de voir les rosiers épineux,

Moi, je me réjouis et je rends grâce aux Dieux

Que les épineux aient des roses.”


                            Alphonse Karr.



“Martin des Senteurs” le très bien nommé… 


Divagations d’automne (si, si, je vous jure, tout va bien!)

[Pardon pour la longueur et les grands mots… Je ne suis décidément pas faite pour l’ère du SMS! Mais après tout, c’est mon journal et je déblatère si je veux et tant que je veux… Et puis je n’aurai sans doute pas le temps d’écrire grand chose d’ici deux ou trois semaines, il faut bien que je vous laisse de la lecture!]



Mes amis s'en amusent: je fais partie de ces gens, par ailleurs plutôt optimistes et rieurs, qui ne savent pas ce que c'est que la légèreté. …

Petites impressions d’été

Retrouver le Bagad Kemper en répétition, un dimanche matin frisquet et ensommeillé. Rejouer les morceaux que nous avions créés en 2000 et revoir tout d’un coup superposés ceux que nous étions alors et ceux que nous sommes aujourd’hui; sentir dans la différence entre les deux, comme un squelette dans une chair, tout ce que nous avons vécu entretemps, les amours perdus et trouvés, les enfants nés, les maîtres morts, les maturités qui commencent à sonner… Sentir que tout cela prend place dans la musique, boucle une petite boucle obstinée et joyeuse. …

*Résidence (Ebrel/ Le Buhé/ Vassallo: ça avance!)

Ciel! Trois semaines de silence! Je vous néglige, ma parole!

Il faut dire que ces trois semaines ont filé en un éclair, la faute aux mille choses en attente depuis des mois, qui ont sournoisement profité de la première seconde de relâche pour me tendre une embuscade bien ficelée.


La faute aussi à une pleine semaine de travail avec Annie Ebrel et Nolùen Le Buhé à Fougères, pour expérimenter plus avant encore, cette fois avec la compositrice Frédérique Lory et Messire Patrick Ewen.


Bons baisers de Chaussy

C’est drôle, quand on va chanter pour quelque chose qui s’appelle Festival d’Ile-de-France, on ne s’attend pas vraiment à ce genre de cadre pour le concert:




Dans le genre friche post-industrielle, on a connu pire.


Et qu’on se le dise: dorénavant le trio Ebrel / LeBuhé / Vassallo  n’acceptera de loge que voûtée en plein cintre:



Et encore, je n’ai pas de photo du superbe Moulinsart bâti au XVIIIe à l’autre bout de l’immense domaine.