C’est drôle, quand on va chanter pour quelque chose qui s’appelle Festival d’Ile-de-France, on ne s’attend pas vraiment à ce genre de cadre pour le concert:
Dans le genre friche post-industrielle, on a connu pire.
Et qu’on se le dise: dorénavant le trio Ebrel / LeBuhé / Vassallo n’acceptera de loge que voûtée en plein cintre:
Et encore, je n’ai pas de photo du superbe Moulinsart bâti au XVIIIe à l’autre bout de l’immense domaine.
Prises par notre propre après-midi de concerts, nous n’avons hélas pas eu le temps d’aller profiter de l’alléchant programme: 8 autres formations du monde entier, toutes plus intéressantes les unes que les autres, sur des scènes réparties dans tout le parc… C’est une triste réalité qu’en règle générale les artistes réunis dans une même programmation n’ont pas le temps d’aller s’écouter les uns les autres! Pour comprendre à quel point cela peut être frustrant, (re)cliquez ici et écoutez les divers extraits sonores…
…Ça y est, vous voyez ce que je voulais dire?
Mais bon, nous avons tout de même pu faire quelques pas dans les jardins, passer de trop courtes minutes avec nos collègues, et surtout vivre un bel après-midi avec des auditeurs apparemment aussi heureux d’être là que nous. Le monde n’est parfois pas trop mal fait…