The Kerbiquet Wheneverly News

*Empreintes #2

Le voilà, ça y est, il est là… Pardon d’insister en plus du faire-part ci-contre, mais voilà: Gilles Le Bigot / Empreintes #2 est sorti, après des années d’attente et d’envie, un long hiver de boulotde boulot et encore de boulot… et pour dire les choses simplement et un peu bêtement: j’aime ce disque.


Je n’ai évidemment aucun moyen de savoir si vous allez l’aimer, vous! Il ne m’appartient pas de bombarder «chef-d’œuvre» un album où je chante… Ce que je sais en revanche, c’est ce que je ressens, moi: que ce disque est plein de la musique de Gilles, généreuse, profonde, avec cet étonnante chaleur qui ne se dément jamais: quand elle parle de tristesse, c’est pour nous consoler; quand elle est gaie, c’est la vraie bande-son du bonheur. …

*Empreintes #2

Le voilà, ça y est, il est là… Pardon d’insister en plus du faire-part ci-contre, mais voilà: Gilles Le Bigot / Empreintes #2 est sorti, après des années d’attente et d’envie, un long hiver de boulotde boulot et encore de boulot… et pour dire les choses simplement et un peu bêtement: j’aime ce disque.


Je n’ai évidemment aucun moyen de savoir si vous allez l’aimer, vous! Il ne m’appartient pas de bombarder «chef-d’œuvre» un album où je chante… Ce que je sais en revanche, c’est ce que je ressens, moi: que ce disque est plein de la musique de Gilles, généreuse, profonde, avec cet étonnante chaleur qui ne se dément jamais: quand elle parle de tristesse, c’est pour nous consoler; quand elle est gaie, c’est la vraie bande-son du bonheur. …

Interlude : Cole Porter, Cole Porter, Cole Porter (et Woody Allen et Boris Vian)

Je sors de «Midnight in Paris», et je dois confesser que je ne m’attendais pas à apprécier à ce point. Autant je suis une victime facile pour Woody Allen, autant la mystique parisienne Lipp-Moulin-Rouge-Montmartre-St-Germain me laisse d’ordinaire de glace; mais c’est que le vrai plaisir du film est ailleurs. Je me suis surprise, voyez-vous, en flagrant délice par procuration à l’idée de me retrouver, par Owen Wilson interposé (ce qui ne gâte rien), nez à nez avec Cole Porter. …

* Le stage d’une nuit d’été

Il n’est pas trop tard (du moins j’espère car sinon j’aurais vraiment l’air stupide à ne vous en parler que maintenant…) pour vous inscrire aux premières Rencontres des Côtes d’Armor: sur le modèle et avec la collaboration de l’Aria Corse, trois semaines de stage intensif, ouvert aux pros comme aux amateurs motivés, autour de la réalisation d’une proposition de théâtre ou de danse, avec ateliers de formation et gros travail de réalisation. …

*Bulletins d’infos: pas le temps d’écriiiiiiiire…

… et pourtant tellement de choses à raconter! Depuis le dernier courrier, nous avons donc eu:

 -une nouvelle semaine de répétitions (toujours à Bréhat – ma vie est une tragédie…) avec Vertigo, qui confirme les joies musicales, humaines, intellectuelles et gastronomiques de ce projet! J’ai l’occasion d’y faire, mine de rien, une foule de choses que je n’ai jamais faites (et je crois que je ne suis pas la seule d’entre nous dans ce cas). …

* Al Levrioù glas / Les chants du livre bleu

(Dimanche 22 mai prochain à Plufur, chapelle St Nicolas à 17h00.) 


Au départ, c’était une envie de disque, qui nécessiterait tôt ou tard quelques interprétations publiques; puis d’une discussion avec les organisateurs du Petit Festival est née une idée de concert à part entière. Quand pour finir ils m’ont montré la chapelle Saint Nicolas à Plufur, étonnant endroit à la fois chargé et vacant, comme un coin de nulle-part au milieu du plus beau des ici, le concert-dans-ma-tête a pris des couleurs plus spéciales encore.