The Kerbiquet Wheneverly News

De l’Orgueil, des Haultes Technologies et du Maître Belge

La mise au point d’un site personnel est l’occasion d’une aimable tambouille de vanité, de scrupules et de naïvetés de toute sorte – et pour tout l’orgueil dont je suis capable je n’ai au moins pas celui de me croire exception à la règle.


Heureusement, l’antidote est à portée de la main. Il se trouve que, pour les besoins de la cause (voir courrier précédent) et n’écoutant que mon inconscience, je travaille  “Voir un ami pleurer” de Brel.

* “La chanteuse, l’infini et la clef à molette”, lettre du fond de la mine

Telle que vous ne me voyez pas, je suis au charbon, ignorant jusqu’au saint repos dominical, sur un projet qui sortira ce printemps (fin mars et avril): une “fantaisie-concert interactive” baptisée “La chanteuse, l’infini et la clef à molette” (titre capillotracté, je sais, mais j’en avais marre des titres en un mot qui ne racontent rien à personne), avec Lydia Domancich aux claviers et arrangements.


Chapitre 1: où elle invente l’eau chaude

Bon, tout a déjà été dit: l’originalité confondante de démarrer un blog aujourd’hui, les voluptés égocentriques de l’exercice, les doutes quant à l’intérêt qu’il présentera pour quiconque, et ceux, plus retors encore, quant au bien-fondé de révéler telle ou telle chose précisément au cas où elle intéresserait quelqu’un. Le danger DE ne pas être pertinent, et le danger À l’être.


Mais voilà, pour tous ces atermoiements, la vérité est que : a) je suis une “