Table, chat et bilinguisme

Rassurez-vous, je ne dis rien de particulièrement cabalistique dans le courrier précédent; il est juste question d’une table de brasserie au soleil sur l’Ile de la Cité et d’une chanteuse qui y paresse comme un gros matou repu en se disant que c’est drôle comme on peut à la fois se sentir lié par les tripes à son petit coin d’arbres et d’eau salée, et éprouver un besoin tout aussi viscéral d’aller régulièrement voir ailleurs si on y est. Et que ce qui est troublant, c’est justement qu’on y est bel et bien.

Mais je ne veux pas faire de traduction intégrale… Dès la page d’accueil, j’ai demandé aux bretonnants de bien vouloir me pardonner de n’avoir ni l’envie, ni le courage de tout dire deux fois. Les non-bretonnants en feront bien autant de temps à autre, n’est-ce pas?