«C’est fou ce que Chopin est serviable»

A lire sur le site de Courrier International, ce papier datant des années 70 sur une médium convaincue que Liszt, Bach et tutti quanti lui dictaient leurs œuvres posthumes.


Mon passage préféré, sa réponse – pardon, la réponse de Liszt –  à la question qu’elle dit se poser elle-même: «pourquoi moi»? Le grand homme lui parle alors de sa perception de médium; mais c’est aussi, ajoute-t-il, que «de toute manière, les pianistes professionnels sont toujours trop occupés»!


Il y a du vrai là-dedans, hélas…


(PS: Sur la façon dont la musique peut «habiter» le cerveau humain, je ne peux que vous renvoyer au Musicophilia d’Olivier Sacks, dont j’ai déjà parlé ici.)